Tantôt au Nord naviguant
Bousculé de toute part
Par un froid si mordant
Qu'il brise le rempart
Du frêle abri qui te maintien
De l'inutile tente qui te soutien
Dans le froid et la nuit
Que ne soit détruite ta vie
Pour la sauver au Sud tu t'embarques
Et découvre cette immense barraque
Tout n'est qu'or, lumière et argent
D'une telle grandeur naissent les géants
Tu voudrais ériger une cathédrale de verre
Pour laisser une empreinte à ta manière
Mais ici tout est matériel et futile. Fuit !
Que ne soit détruite ta vie
Trouvant refuge à l'équateur
Luttant contre les tentations
Du Nord au Sud rudes sensations
Tu savoures des jours meilleurs
Mais tu sais qu'ils reviendront te chercher
Où que tu ailles jamais
Tu ne seras vraiment en paix
Les démons des pôles n'auront de cesse de te traquer
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