9 décembre 2011

J'aurais aimé pouvoir être celui que tu regarde

J'aurais aimé être celui qui te caresse, celui qui te berce

J'aurais aimé ête celui pour qui seul bat ton coeur

Tu imagines...si j'avais été celui qui pouvait t'apporter le bonheur...

Tu imagines si j'avais pu être celui avec qui tu construit ta vie...

Tu imagines nos enfants courant au bord d'un lac au soleil couchant.. Mois t'enlaçant tendrement...

Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine. Contre cette vie qui m'assassine, cette vie qui brise les rêves. Entre nous c'est le paradis mais il n'est qu'illusion. Un jour tu trouvera ton prince et fermera la porte de ma prison. Peu importe si tu m'enchaîne, Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine.

Contre cette nature si injuste qui se moque des hommes si vétuste... Si j'avais pu être celui qui te fais vibrer, celui qui te fais jouir. Si j'avais pu être cet homme que tu puisse arrêter de souffrir.

Mais la vie cette chienne en a décidé autrement... La vie cette pétasse à briser notre élan. Dure et cruelle comme l'acier, inflexible et implacable on ne peut pas la soudoyer.

Tous les efforts que tu peux faire te porte en avant, mais au final à quoi ca sert tu as toujours le même présent...

Sourire de facade, hypocrisie tolérée, suivons la morale de la société... Non je sais arrête ne me dis rien. Ce que tu veux n'y changerai rien. Notre passé n'est pas simple, notre présent est imparfait et notre avenir plus que conditionnel..

Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine. Contre cette vie qui m'assassine, cette vie qui brise les rêves. Entre nous c'est le paradis mais il n'est qu'illusion. Un jour tu trouvera ton prince et fermera la porte de ma prison. Peu importe si tu m'enchaîne, Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine.

Contre cette nature si injuste qui se moque des hommes si vétuste... Si j'avais pu être celui qui te fais vibrer, celui qui te fais jouir. Si j'avais pu être cet homme que tu puisse arrêter de souffrir.

Mais voilà je ne suis qu'une femme et de loin je regarde ton malheur. Mais voilà je ne suis qu'une femme qui t'aime en silence qui s'efface devant ton errance. Qui te porte et te soutien, qui t'écoute et te console, qui es là lorsqu'il n'y a rien.

Jalouse et possessive c'est vrai peut-être que je te surprotège. Mais si tu savais jusqu'où je suis prête a aller pour que tu me regarde comme c'est homme qui te fais du charme. Je ne suis pas prête de monter sur le manège. Mais jamais ne coulera les larmes.

Un jour cette homme dont tu rêve ce sera moi, un jour celui qui te fera rire ce sera moi. Oui mon ange tu verra comme la vie sera belle. C'est vrai contre l'ordre établi je me rebelle. Mais ce n'est pas un sacrifice ou si peu. En tout cas le jeu en vaut la chandelle. Je le jure devant Dieu.
Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine. Contre cette vie qui m'assassine, cette vie qui brise les rêves. Entre nous c'est le paradis mais il n'est qu'illusion. Un jour tu trouvera ton prince et fermera la porte de ma prison. Peu importe si tu m'enchaîne, Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine.

Contre cette nature si injuste qui se moque des hommes si vétuste... Si j'avais pu être celui qui te fais vibrer, celui qui te fais jouir. Si j'avais pu être cet homme que tu puisse arrêter de souffrir.
 

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