7 mars 2012

Pierre

                                                                       Pierre
Je croyais que nous étions forts nous deux
Aurions nous sans le vouloir fâché les Dieux
Quelqu'un s'est-il senti jaloux de notre amour
Le monde nous appartient pour toujours
Heureux réunis sous le même ciel
Qui donc ainsi a pu déverser son fiel
Main dans la main, unis, complices
Nous n'avons pas vu le serpent qui glisse
Arrivés comme un rayon de soleil
Ces deux lacs azur, ses lèvres vermeilles 
Dévastant ton coeur, le mien volant en éclat
Pris dans ses filets tu as lâché mon bras
Il y a de longues heures de bonheur
Mais tu as choisi de les passer ailleurs
La rivière de notre amour s'est scindée en deux
Pour pleurer je n'ai eu que les yeux
Mais la belle s'est envolée c'est fini
Et toi depuis longtemps je suis partis
Aujourd'hui je ne peux que regretter ces moments
Merveilleux à contempler le ciel dans tes bras.
                                                                       Pierre

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