28 mars 2012

My soul, my sorrow

Que le deuil creuse de sillons si profond dans notre âme que seule la mort puisse nous en délivrer.

Comme des étoiles au soleil nous brillons jusqu'au lever de la lune où les loups feulent sentant la fin des temps arriver

Alors ternie, salie et bafouée notre corps la laisse s'en aller pour se retrouver sous terre lentement décomposé par les vers

Libérée du fardeau des hommes ses rides doucement s'estompent.

Le poids des morts qu'elle a vu passer deviennent des ombres pas plus grosses qu'une pomme.

Ceux qui pensent qu'elle disparaît complètement se trompent.  Elle s'apprête à savourer son éternité.

Le poids du passé alléger comme une plume. Adieu marteau, canon, fouet, enclume.

Mon corps est vide, mon âme est libre. A tout jamais s'est vidée ma clepsydre.

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