9 décembre 2011

My world... My gold

My world... my gold



Vois ces richesses de notre monde, vois ce que l'Homme charrie d'immonde.
Or or dans les mines de l'Afrique

Or
noir dans le Golfe trolifique

O
r blanc dans les confins de l'Amérique

Ma
is pensons nous encore à cet or rouge?

Ou
i cet or rouge sang qui s'écoulent du corps de nos enfants ?
J'aurais aimé pouvoir être celui que tu regarde

J'aurais aimé être celui qui te caresse, celui qui te berce

J'aurais aimé ête celui pour qui seul bat ton coeur

Tu imagines...si j'avais été celui qui pouvait t'apporter le bonheur...

Tu imagines si j'avais pu être celui avec qui tu construit ta vie...

Tu imagines nos enfants courant au bord d'un lac au soleil couchant.. Mois t'enlaçant tendrement...

Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine. Contre cette vie qui m'assassine, cette vie qui brise les rêves. Entre nous c'est le paradis mais il n'est qu'illusion. Un jour tu trouvera ton prince et fermera la porte de ma prison. Peu importe si tu m'enchaîne, Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine.

Contre cette nature si injuste qui se moque des hommes si vétuste... Si j'avais pu être celui qui te fais vibrer, celui qui te fais jouir. Si j'avais pu être cet homme que tu puisse arrêter de souffrir.

Mais la vie cette chienne en a décidé autrement... La vie cette pétasse à briser notre élan. Dure et cruelle comme l'acier, inflexible et implacable on ne peut pas la soudoyer.

Tous les efforts que tu peux faire te porte en avant, mais au final à quoi ca sert tu as toujours le même présent...

Sourire de facade, hypocrisie tolérée, suivons la morale de la société... Non je sais arrête ne me dis rien. Ce que tu veux n'y changerai rien. Notre passé n'est pas simple, notre présent est imparfait et notre avenir plus que conditionnel..

Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine. Contre cette vie qui m'assassine, cette vie qui brise les rêves. Entre nous c'est le paradis mais il n'est qu'illusion. Un jour tu trouvera ton prince et fermera la porte de ma prison. Peu importe si tu m'enchaîne, Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine.

Contre cette nature si injuste qui se moque des hommes si vétuste... Si j'avais pu être celui qui te fais vibrer, celui qui te fais jouir. Si j'avais pu être cet homme que tu puisse arrêter de souffrir.

Mais voilà je ne suis qu'une femme et de loin je regarde ton malheur. Mais voilà je ne suis qu'une femme qui t'aime en silence qui s'efface devant ton errance. Qui te porte et te soutien, qui t'écoute et te console, qui es là lorsqu'il n'y a rien.

Jalouse et possessive c'est vrai peut-être que je te surprotège. Mais si tu savais jusqu'où je suis prête a aller pour que tu me regarde comme c'est homme qui te fais du charme. Je ne suis pas prête de monter sur le manège. Mais jamais ne coulera les larmes.

Un jour cette homme dont tu rêve ce sera moi, un jour celui qui te fera rire ce sera moi. Oui mon ange tu verra comme la vie sera belle. C'est vrai contre l'ordre établi je me rebelle. Mais ce n'est pas un sacrifice ou si peu. En tout cas le jeu en vaut la chandelle. Je le jure devant Dieu.
Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine. Contre cette vie qui m'assassine, cette vie qui brise les rêves. Entre nous c'est le paradis mais il n'est qu'illusion. Un jour tu trouvera ton prince et fermera la porte de ma prison. Peu importe si tu m'enchaîne, Tu sais que je t'aime, tu sais que j'ai la haine.

Contre cette nature si injuste qui se moque des hommes si vétuste... Si j'avais pu être celui qui te fais vibrer, celui qui te fais jouir. Si j'avais pu être cet homme que tu puisse arrêter de souffrir.
 

Lord of War


Je vais te raconter l'histoire des lord of War. Personne ne sait vraiment lorsqu'il a débarqué mais tout le monde l'a vu arriver, il a tout fracassé.

Tout puissant et malveillant sois son ami sinon tu finira au fond du caniveau, au soleil il laissera pourrir tes os. De tout temps du coté des plus fort ses serviteurs te marcherai sur le corps. Leur Maître tout puissant gagne en vigueur de jour en jour.


Déjà aujourd'hui il domine ta vie. Cette chienne s'est laissée bernée, elle ouvert la porte. Aujourd'hui Lord of War nous transporte. Et tant pis si tu ne peux pas suivre tu n'a plus qu'à survivre.

Il part en guerre comme tu vas acheter ton pain. C'est lui qui décide de ton lendemain. Alors arrête ne dis plus rien. ne gâche pas ta salive tu en auras besoin. Si un jour il te permet de changer ton destin.

Car même si plus fort que toi il ne cesse de grimper. Dans la hierarchie un jour il se fera niquer. Lord of war se mène à sa perte c'est déjà tracé.


Déjà aujourd'hui il domine ta vie. Cette chienne s'est laissée bernée, elle ouvert la porte. Aujourd'hui Lord of war nous transporte. Et tant pis si tu ne peux pas suivre tu n'a plus qu'à survivre.

Attends simplement, terre toi au fond du trou. Comme ses politiques qui s'en fout. Car tu sais Lord of War tu le connais mieux que tu ne le pense. Tu le voilà à la télé tout les jours mener la danse.

Quoi ? Tu ne me crois pas ? Regarde ces guerre, regarde ces gens qui croulent sous la misère ! Notre politique d'impuissance nous mène droit en enfer.


Déjà aujourd'hui il domine ta vie. Cette conne s'est laissée bernée, elle ouvert la porte. Aujourd'hui Lord of war nous transporte. Et tant pis si tu ne peux pas suivre tu n'a plus qu'à survivre.


Alors vas-y fais comme moi élève ta voix. Imagine 7 milliards d'être humains qui hurlent tous main dans la main. Tu imagines le tremblement de terre, la réaction des militaires. Qui polluent la planète et sème la tempête mené de Maître comme au temps des soviets. Ces gens pour qui à sonné le crépuscule mais qui grâce à Lord of War pullulent.

Alors va y fais comme moi et gueule un coup contre le destin. Contre tous ces bon à rien. Les soudoyer, les corrompu et ceux qui réussissent grâce à leur cul. Tout ceux qui par Lord of War se laisse guider. Pour qui l'ARGENT est un mode de penser.


Si Aujourd'hui il Domine ta vie. Cette conne qui s'est laissée bernée en ouvrant la porte. Celle que Man of war a mis à sa botte. N'oublie jamais que tu reste libre, que tes pensées il ne pourra les prendre. N'oublie jamais que tu peux dire à cet enfoiré qu'il aille se pendre.

Si Aujourd'hui il Domine ta vie. Cette conne qui s'est laissée bernée en ouvrant la porte. Celle que Man of war a mis à sa botte. N'oublie jamais que tu reste libre, que tes pensées il ne pourra les prendre. N'oublie jamais que tu peux dire à cet enfoiré qu'il aille se pendre.
 
Lord of war
 
Toutes ces richesses que tu nous donnent, tout ce sang qui t'es rendu.

Ta générosité est naturelle, mais l'homme abruti par ses excès de civilisation préfère payer le prix fort.

Alors il fait couler les larmes, alors il fait couler le sang

Alors il arrache les âmes à coup de dogmes à nos enfants.

Le voyageur

Je te regarde toi le voyageur solitaire. Seul là au milieu de la place avec ta valise. Toi qui reste la à regarder passer le monde été comme Hiver. Isolé de la modernité aux cotés de ta valise.

Ton regard immobile n'est pas mort. Si l'on prend le temps de s’arrêter à tes cotés on peux entendre battre ton cœur. Comme le dernier juge sur notre ville tu cries nos torts. Dans un hurlement muet intérieur.

Un jour oui, tu as été au bord de la route. Toujours oui, tu n'as pas eu cette croûte. De Fiente de pigeon sur ton veston, cette odeur d'alcool qui parfume ton col. Le temps pour toi s'est arrêté. Définitivement lorsque tout autour de toi s'est bétonné.

Ton regard immobile n'est pas mort. Si l'on prend le temps de s’arrêter à tes cotés on peux entendre battre ton cœur. Comme le dernier juge sur notre ville tu cries nos torts. Dans un hurlement muet intérieur.

Tu te souviens de ce temps ou tu voyais passé les cols blancs ? Tu te souviens de ce temps ou les taxis près de toi stationnais en klaxonnant ?

Au bord de la route dans la fumée des gaz d'échappement. Tu veillais sur ton bout de trottoir, il te renvoyais le miroir de tous ces voyageurs qui comme toi attendait l'heure.

Ton regard immobile n'est pas mort. Si l'on prend le temps de s’arrêter à tes cotés on peux entendre battre ton cœur. Comme le dernier juge sur notre ville tu cries nos torts. Dans un hurlement muet intérieur.

Tu n'a jamais su parlé, tu ne pouvais que regarder. Des années plus tard tu es toujours là, ta valise à coté de toi. Coulé dans le bronze tout les deux vous décorez encore des lieux. Qui n'ont plus d'âme et ne veulent plus rien dire. Une place ronde qui se sent mourir. Vestiges du passé de la ville vous faites parti de ces fantômes tranquilles.
 
Le voyageur